le nom de l'oeuvre: 'LiberTribes, les tribus d'Hegoa' Histoire du monde d'Hegoa premier jet
Déscriptif: premier jet de l'histoire pour le background du jeu de projetmmo.fr
Copyright © 02/06/2007
Auteur: Samuel LAÏ (neosys)
Copyleft : cette oeuvre est libre, vous pouvez la redistribuer et/ou la modifier selon les termes de la Licence Art Libre.
Vous trouverez un exemplaire de cette Licence sur le site Copyleft Attitude
http://www.artlibre.org/ ainsi que sur d'autres sites.
Bunsyf
‘Fulgeryss l’éveilleur’, de la caste des historiens et chanteur d’odeur publique pour son plaisir, transcrit l’histoire d’Hegoa sur les torses de ses ancêtres en ces termes :
Bien loin de notre temps ‘Hegoa’, monde de paix sur ‘Geloua’ notre continent, s’enrichissait du savoir et des œuvres de toutes tribus et de leurs cultures avec nos frères Humains.
Nos villages étaient souterrains organisés en immenses dômes reliés par de larges galeries soutenues par des roches, ceux humains étaient proche de l’eau bâties de pierre et métal.
Les scientifiques et mages de nos deux peuples recherchaient les solutions pour améliorer notre quotidien. Ils redécouvraient à chaque avancée la nature de notre monde.
Les jeunes voyageaient de villes en villages, écoutaient les récits et leurs auteurs.
Ils observaient les artistes ainsi que les artisans et transmettaient leurs goûts pour l’échange et leurs savoir-faire à toute personne qui les fréquentait.
En cette époque les commerces fleurissaient, ils proposaient sur leurs échoppes des produits les plus simples aux réalisations les plus éclairées.
Chaque tribu avait ses spécialités : culinaires, artistiques, artisanales accessibles pour tous.
La tradition commerciale était l’échange. Les villageois troquaient les produits de leur travail pour des plats préparés, les ouvriers leur ouvrages pour de douces chansons, les artistes leurs œuvres pour une maison et chacun d’inviter les autres à partager leur temps avec leur aîné pour comprendre leur histoire, discuter de leur plaisir et profiter de leurs racine.
C’est à l’époque de ‘Karqueryz l’inventeur’, architecte du Musée des tribus connues appelé ‘Ruoleïm’, que l’’Eqyast’ se produit.
Notre comète ‘Qya’ qui passait traditionnellement séparer le ciel d’Hegoa en deux à la moitié de l’année, point central de notre calendrier commun, recouvrit de sa queue de glace notre monde.
Ce n’est que bien des décennies plus tard que les astronomes Bunsif expliquèrent l’’Eqyast’.
Notre univers, cylindrique, se balance sur lui-même continuellement, comme s’il était empli partiellement d’une masse liquide qui se créerait son flux et reflux. L’un des mondes gazeux, aux limites de notre univers, aurait perdu de sa masse lors d’un ‘reflux’ au moment du passage de ‘Qya’. L’inclinaison de notre monde était modifiée alors que ‘Qya’ ne changeait pas sa trajectoire.
Les Bunsif concluent en expliquant que ‘la masse liquide’ de notre univers s’est régulé pour retrouver son équilibre initial et, selon eux, il est peu probable qu’un nouvel ‘Eqyast’ se produise.
Sur ‘Geloua’ durant sept longues années, aucune culture ne pu se développer, ses eaux ne donnaient plus de poissons, son ciel ne ruisselait plus. Seule la glace, source d’eau et récolte de l’univers, pu permettre à quelques uns d’entre nous de survivre.
Les quatre premières années, les réserves des tribus suffirent à nous nourrir mais la température et les maladies décimèrent les peuples. Les plus grand scientifiques de se temps se réunissaient afin de trouver le moyen de rendre à Hegoa sa vie.
Ils s’installèrent dans ‘Ruoleïm’ et décidèrent de créer un végétal et un animal qui pourraient repeupler notre monde.
Après 3 ans de recherches communes le résultat tant attendu était obtenu. Ils donnèrent naissance à un végétal et un animal tout deux asexué. Ce couple était complémentaire et pouvait vivre en autarcie.
La plante produisait ses fruits, seule nourriture possible pour l’animal qui après l’avoir digéré, déféquait un noyau fécondé d’un œuf animal et une graine végétale.
La plante se nourrissait de mana, à chaque endroit où son noyau tombait, elle le collecte et se développe en le transformant en Cyniam.
Arrivée à maturité, une fois atteint une dizaine de centimètres, son premier fruit est l’animal. Dès qu’il se détache et prend son envol, elle produit ses fruits gonflés du Cyniam de sa sève riche.
Les chercheurs Sulmis et Humains envoyèrent les quelques couples qu’ils purent créer dans la nature. C’est en très peu de temps que les Nïmhsynés se multiplièrent.
Après deux ans, ils avaient recrée une biosphère. La glace avait fondue, consommé par eux. Les premières pluies annonçaient le renouveau de Hegoa, le cycle de l'eau reprenait et avec lui la vie à la surface d'Geloua .
Les populations Sulmis et Humaines redécouvraient la nature de leur monde. Lors de nos voyages, nous Sulmis rencontrâmes une nouvelle espèce de quadrupèdes qui envahissaient les prairies et nos forêts.
Nous étions persuadés qu’ils étaient venus sous leur forme primaire de la glace de ‘Qya’, nous les avons adopté et nommé ‘Arthog’ qui signifie ‘peuple du vide’. Heureux de vivre à nouveau libre à la surface, nous les avons aidés à se développer, nous en avons fait nos partenaires.
Leur corps se recouvrait naturellement et rapidement d’une carapace vivante, nous l’appelons ‘Likaï’ pour ‘peau de pierre’. Au début nous avons souhaitez soigner les Artogs du Likaï mais cela n’était pas possible, ils sont un seul et même être.
Les Propriétés du Likaï étaient étonnantes. Extrêmement solide, il se développait très vite et il nous était facile d’en organiser sa forme.
Le bonheur que nous avions à revoir le monde, nous poussa à modifier notre mode de vie pour profiter de la surface. Pour honorer notre amitié fondamentale, les plus vieux ‘Artogs’ nous demandèrent de faire de leur sépulture nos habitats, la reconstruction de nos villages et villes en ‘Likaï’ fût un émerveillement pour tous.
Nous vivions dorénavant et pour la première fois à la surface d’‘Hegoa’.
Les Humains de leur coté après neuf années de vie sous terre, c’étaient tourné vers la méditation. Grâce à elle ils pensaient pouvoir réduire leur besoin en nourriture mais ce qu’ils y découvrir était pour eux fabuleux. Les ‘j'nuns’, leur esprit amis. Grâce à leur maîtrise de la magie, ils leurs donnèrent une forme immatérielle et leurs offrirent une partie de leur corps pour résidence. Leurs ‘j'nuns’ procuraient force, sagesse, intelligence ou dextérité à son hôte. Chaque membre qu’un ‘j'nuns’ occupait s’assombrissait.
=====================================================================
Ici fin du background beta, les Nïmhsynés de 1ère génération sont petit ils n’ont pas encore de conscience, ils ne sont pas considéré comme ‘humanoïde’ par les Sulmis et les humains.
=====================================================================
La suite
=>>>
Bien que ‘Geloua’ notre continent renaissait les mers étaient toujours de glace.
Pendant de longues années, avec l’aide des Artogs, nous avons percé cette glace mais aucune eau liquide ne se découvrait.
Ce n’est qu’au temps de la construction de ‘Kuflerro’ notre ville archive, que les océans se liquéfièrent à nouveau.
Cela débuta par une période de grande chaleur, certain d’entre nous, resté dans nos villes souterraines, nous dirent que de l’eau salée ruisselais des dômes sous marin. Ils n’étaient pas étanches car plus entretenu depuis des décennies.
Avec nos frères humains nous avons alors passé de nombreuses saisons à veiller nos cotes pour observer la calotte glacière fondre.
L’eau était là et sa température élevée, nos jeunes découvrir l’océan pour la première fois, les artisans pour fêter sa présence, construisirent de nombreux bateaux, les plus beaux et rapides étaient Humains.
Nos scientifiques procédaient à leurs nombreuses analyses, bien que microscopique, l’eau abritait la vie ! Nous connaissions notre biologie et celle de la plus part des êtres vivant qui constituaient ‘Hegoa’, à base de Carbonne nourrit de lumière, d’azote et d’oxygène.
La vie qui se multipliait dans notre océan n’y ressemblait pas, constitué de silice, elle semblait se nourrir d’hydrogène sans besoin de lumière.
Les scientifiques expliquèrent la température de l’océan par l’énergie dégagée lors de la reproduction de cette forme de vie. Deux cellules assez proches, se touchaient, s’assimilaient, une grande quantité d’énergie était produite alors et trois cellules de taille égale se séparaient.
Après que quinze années se soient écoulées depuis la renaissance de notre océan, que nous Sulmis avions baptisé ‘Mnégoje’, les premiers Bunsif apparurent sur nos littoraux.
Les humains les ont baptisés ainsi en référence à une ancienne espèce de méduse les ‘nsif’ que leurs pécheurs avaient connue. Le ‘bu’ pour rappeler leurs membres humanoïde.
Voilà le rapport d’analyse du premier groupe de chercheurs Humain et Sulmis qui les a observés :
‘Les Bunsifs sont de petite taille mais trapu, ils sortent de l’eau et reste immobile sur le sable. ils restent éloignés les uns des autres mais lorsque l’un d’entre nous s’approche de l’un d’entre eux, c’est l’ensemble du groupe qui se tourne vers nous. Ils imitent notre silhouette, cette surprenante faculté semble être un réflexe pour eux. Bien que nous ne parvenons pas à communiquer, ils semblent social. Ils agissent de façon coordonnée, nous sommes persuadé qu’ils communiquent, nous ne savons pas comment.’
Les rapports, nombreux par la suite, expliquaient que les Bunsifs migraient en petits groupe de vingt ou trente vers les endroits arides de ‘Geloua’ et bâtissaient de spectaculaires édifices et canalisations en roches et cristaux, qu’ils ‘cultivaient’.
Ces espaces éloignés des toutes nos tribus étaient peu colonisés par les Nïmhsynés ou autres végétaux, mais les Bunsifs déracinaient toutes végétations autour de leurs villages. Ils ne semblaient pas avoir besoin de se nourrir de matières organiques, aucune culture ne remplaçait les plantes qu’ils fessaient disparaître.
Il est dans la nature de toutes espèces d’assurer sa survie aussi les animaux Nïmhsyné protégèrent leurs plantes. Les agressions physiques pourtant n’arrêtaient pas les Bunsifs, leurs corps n’y étaient pas sensibles.
Les Bunsifs comprirent qu’ils causaient du tord dans leur écosystème mais ne parvenaient pas à définir lequel. Leurs scientifiques après de longues discutions, décidèrent d'un test qui leurs semblait logique. Faire pousser des Nïhmsynés sur des Bunsifs pour apprendre à communiquer avec eux. En effet ils avaient observé l’interdépendance, dès leur naissance, entre les deux êtres qui ne formaient qu’une espèce.
Le résultat de cette expérience fût prodigieux. La plante, nourrie de silice-vivante était bien plus grande. Elles possédaient des branches qui imitaient des membres, dont un bras avec une main géante et acérée. L’animal avait gagné en taille et en vitesse mais le vrai prodige n’était pas dans leurs évolutions physiques. L'animal avait gardé sa nature ‘instinctive’ alors que les plantes accédaient à la conscience et au raisonnement !
Dès la première génération, elles pouvaient communiquer entre elles par les odeurs et les sifflements de leur voie.
Pendant une longue période, après que ces expériences se soient terminées, les scientifiques et tout le peuple Bunsif étaient entrés en discutions pour estimer s’ils n’avaient pas commis une grave erreur.
Dès lors, Les plantes refusèrent de partager leurs noms avec leurs animaux. Aussi selon leurs lois, elles les baptisèrent ‘Goiloyet’ les reproducteurs, dans leur langue.
Dotée d’une grande beauté, les Nïmhsynés étaient souvent sujet d’émerveillement pour les autres peuples, à l’exception des Bunsifs.
Le plaisir que leurs sensualités et leurs douces odeurs procuraient aux passants était sans égales mais leurs caractères hautains et dédaigneux, probablement lié au fait qu’elles savaient avoir été les sauveurs de la vie sur Hegoa, les rendaient difficilement fréquentable pour les autres civilisations.
Elles pouvaient vivre et croître presque partout sur Hegoa mais leurs villes préférées se situaient au coeur des forêts les plus dense. Il était difficile, pour un Humain ou un Sulmis, de percevoir une ville Nïmhsyné même s'ils passaient au milieu de l'une d'elles et encore plus d'être accepté dans une tribus.
Entre elles-même les rivalités pour diriger leur civilisation étaient continue. Les Nïmhsynés décidaient de leur maître pour tout Hegoa au début de chaque année.
Les Humains prétendaient que l'un des buts que visait ces très courts règnes était de se créer le plus vite possible une histoire emplis de noms.
Ils leur paraissaient essentiel de faire oublier aux autres civilisations qu'elles venaient des manipulations des sciences et non de la nature ou de son évolution naturelle. De nombreuses Nïmhsynés travaillaient à approfondir leurs connaissances de la philosophie.
Pour leurs philosophes c'est un devoir d'expliquer le but de la vie et démontrer que leur existence est la justification même d'Hegoa. La plus part défendent la thèse qui conduit à la conclusion que le but de tous évènements de notre univers était leur apparition.
Moi, 'Juislaï' historien archiviste, qui aujourd'hui vous lis ces mémoires qui remontent à bien avants la naissance de mon arrière arrière père, je prend conscience que notre monde n'évolue plus. Nous avons cessé de nous émerveiller pour observer nos voisins sans patience ni compassions.
Demain je dois annoncer à ma caste que je veux la quitter, je ne souhaite plus analyser l'histoire ou en écrire les faits.
J'ai décider d'en faire parti et d'agir pour redonner à mon monde, à ses civilisations un nouvel essor, Je veux créer mon propre village.
=================================================
Voilà je suis pour l'enrichir de détailles évidement. Dites moi ce que vous en pensez.